Les poiriers communs, scientifiquement connus sous le nom de Pyrus communis, sont des arbres fruitiers de la famille des rosacées. Son origine se situe en Europe de l’Est et en Asie Mineure. Dans ces régions, il a été cultivé depuis trois mille avant Jésus-Christ et des vestiges archéologiques ont été trouvés qui le certifient.
Ce type de poire est également connu sous le nom de poire européenne. C’est un arbre de taille moyenne qui peut atteindre une vingtaine de mètres de hauteur, bien qu’il reste généralement autour de cinq ou six mètres. Si les conditions ne sont pas défavorables, le poirier commun peut vivre quatre cents ans.
Le poirier a un tronc gris épais et craquelé. Les branches, par contre, ont une écorce lisse et subissent des changements de couleur, devenant vertes lorsqu’elles sont jeunes et devenant grises avec le temps. Sa racine est épaisse et se développe autour d’un axe central très développé. Cela permet à l’arbre de bien s’ancrer au sol.
Il fleurit une fois par an, produisant de petites fleurs blanches ou blanc rosé qui donneront plus tard le fruit. Ses fruits sont appelés poires et sont très appréciés pour la consommation domestique. Ils sont en forme de pommeau, de taille moyenne et de goût sucré. Cela le rend utilisé dans la fabrication de desserts, confitures, conserves, gelées et même liqueurs.
Avant de planter un poirier commun dans notre jardin, nous devons prendre en compte les informations suivantes:
- Il préfère les climats tempérés et les températures douces, bien qu’il soit capable de survivre à la rigueur de l’hiver. Bien sûr, il faut y porter une attention particulière au printemps car il peut succomber au gel.
- Nous devons choisir un endroit où notre arbre est en plein soleil.
- Le sol doit être sableux, perméable et sain. N’aime pas l’excès d’humidité ou l’eau stagnante.
- Il doit être payé en apportant du fer car il a tendance à souffrir d’une pénurie de ce nutriment.
- Il se reproduit par graines et greffage, étant presque impossible à faire par boutures. Les greffes sont généralement réalisées sur des bourgeons dormants du coing en automne.
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